mardi, février 20, 2018

Je viens de passer sur ta page...Je le fais peu mais ce n'est pas l'envie qui me manque...
Tu y étais à changer ton profil à 22h16 hier, un 19/02 donc, je te pique ta photo, je la trouve très belle, est-elle de toi ? Sans ton aimable autorisation mon ange...







lundi, février 12, 2018




mercredi, février 07, 2018

Mon âme qui saigne






mardi, février 06, 2018

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J'ai des témoignages d'affection, mais une seule personne vous manque et...
Ma confession, parmi toutes les autres, est la suivante, dès lors qu'on emprunte le passage de la séparation de ceux qu'on aime le plus, après 'ses parents' dans cette mesure acceptable, raisonnable et naturelle (le lien n'est pas vraiment 'rompu', le cordon coupé depuis le commencement, c'est un chemin commun néanmoins) le remord est instantané et plus lourd est le regret que l'on sait nourrir jusqu'à sa maturité ultime ou le manque finira par tout engloutir sans plus même un morceau immergé de solitude pour rester hors de la spirale qui a grossi jusqu'à submerger le moindre début d'espoir, une certitude solidifiée si dense dans sa réalité, c'en est devenu un bloc, tangible et comme palpable, tel un terreau desséché de sa biotope, assassiné, la vie inexistante, une 'terre' morte, et de désolation formée par cette évidence : j'ai perdu son amour et j'en suis dévastée, mais je ne puis que l'assumer...C'est dingue, non ? Je ne pleurs pas ici, je ne le peux sous peine de ne jamais plus m'arrêter...Aussi, le pire demeure cette demande de pardon qui ne pourra pas être formulée, du coup, du coup, le coup du balancier et son tic tac, le pendule de la faucheuse ou de nos horloges particulières, petits fragments de la grande mécanique de l'univers, unis pour aller vers, mais où ? Chronos le saturnien austère qui avale ses enfants après les avoir fauché, donnera la note pour quitter ce sol, mais n'est-ce pas déjà une autre histoire ? Quant à être reçus mes sincères regrets, qui paraissent du coup, du coup, comme une obsession, en tournant, tournant autour d'eux-mêmes, se faisant se matérialisent telle une des incarnations d'Ouroboros, et qui par là-même ne risque pas d'être entendus, lus tout replié sur lui-même qu'il est... Et j'imagine la douceur, et combien le ciel doit être radieux pour ceux qui ont la chance de savoir 'protéger' et cultiver le jardin secret de l'intime souffle donné, des mots murmurés dans un silence paisible mais de suite effacé par le chant mélodieux de deux inséparables et la brise légère dans les branches de cet arbre millénaire qui sert d'abri à ce couple et de logis à cet autre, nichés au creux de rameaux qui observent la course des saisons, et ont vu passer des générations, de cœurs brisés ou d'histoires sans fin, celles de ces deux âmes qui ne se quitteront même après le trépas d'ici-bas ...Et le soin apporté au véritable temple que sont nos corps pour ce temps court qui nous est imparti, l'attention vigilamment constante mais cependant détachée pour ce que nous avons de plus précieux, notre capacité d'aimer et quand cet amour paraît bien trop "personnel" pour l'expérience humaine, s'il est également partagé par celui, celle pour qui il est si évident qu'on vit, en ces jours de tout et grand n'importe quoi de cette condition humaine, dans un marché des émotions dont paradoxalement on voudrait se soustraire, ne plus souffrir et où on désire presque en finir avec le 'besoin' de peine pour recevoir la joie, une idée erronée ? De celui qui glorifie l'individualité car elle est aussi la première idée de liberté par l'application d'un libre-arbitre qui ne peut qu'être salutaire lorsqu'il n'est pas corrompu et d'un désir commun, entre deux 'êtres' sans conventions mais cependant un jeu romantique de deux 'soi', et quelle part, veut-on garder ? Pourquoi pas, tout ?...En ce dernier 01/02 ou plutôt ce jour là de 2018 (jupitérien pour aller avec l'actualité, alors même que c'est une insulte pour mon cocker que j'ai tant aimé et qui nous a quitté il y a si longtemps, et une insulte à la Grèce et à sa philo. Réellement lumineuse en ces temps qui se recouvrent à nouveau de tellement d'obscurité tout en prétendant le contraire) tu m'as encore mieux manqué, mais pas plus qu'au prochain 08/05, celui de cette même année, quand je ne pourrai pas vraiment te dire combien je suis heureuse que tu sois "née", que tu existes...Love u forever and ever, comme "diraient" les jeun's, et nous...

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